Pour mieux cerner le système des aides humanitaires, il faut comprendre que tous les pays n’ont même pas la capacité de s’occuper de leurs populations et de garantir une croissance économique. Cela est souvent dû à des catastrophes naturelles ou tout simplement à des conflits armés qui contraignent les populations à la misère.
Comment se manifestent les aides humanitaires dans les zones reculées ?
Lorsqu’on parle des aides humanitaires dans les zones reculées, il faut comprendre des villages où villes qui ont été isolées du reste du pays par des milices qui se battent ou des endroits qui ont victimes d’une catastrophe qui les a coupées des autres habitants. Et dans ce domaine, il faut reconnaître que la communauté internationale et la société civile font de son mieux pour venir en aide aux populations. C’est le cas du nord Kivu qui est en guerre depuis des années, mais qui reçoit les aides de l’extérieur. Il y a aussi d’autres endroits que les Casques bleus de l’ONU disputent avec des terroristes pour libérer les populations déjà appauvries et endeuillées. Enfin, on remarque que des structures et des organisations font l’effort de mobiliser des millions d’euros pour venir en aides aux familles et enfants déplacés de guerre.
Que reproche-t-on aux aides humanitaires ?
Malgré les efforts que les organisations internationales et régionales déploient, il y a des failles qui ne rendent pas totalement blanches leurs interventions. D’abord, ces pays qui apportent l’aide humanitaire sont les mêmes à financer les terroristes qui viennent semer le trouble dans les zones reculées. Ensuite, au lieu de penser à libérer totalement ces zones des milices en les combattants farouchement, on les laisse tuer et on vient jouer au sapeur-pompier volontaire après la mort. Enfin, il faudrait avouer que les aides déployées font souvent office de contraintes pour l’État de ce pays qui est obligé de se soumettre aux exigences de la communauté internationale.